• p°98

    " Bill told me 'ow Fred and George are very amusing ! " said Fleur, smiling serenely.

    "Yes, I can hardly breathe for laughing," snapped Hermione.

    [Fleur n'est pas plus appréciée de Hermione, que de Molly, la mère de Bill. Le ton employé ici est bien sûr sarcastique]

     

    p° 106

    " Thanks, Bill, said Harry, pocketing his gold.

    " He is always so thoughtful," purred Fleur adoringly, stroking Bill's nose. Ginny mimed vomiting into her cereal behind Fleur. Harry choked over his cornflakes and Ron thumped him on the back.

    [Fleur, toujours en admiration devant Bill, frère de Ron, et son futur mari. Dans le tome 6, elle n'est pas vraiment bien intégrée dans sa belle-famille car tout le monde croit qu'elle épouse Bill avant tout pour son physique. Tout ça jusqu'à ce qu'un horrible accident défigure Bill...]

     

    p°110

    His light grey eyes narrowed.

    " If you are wondering what the smell is, Mother, a Mudblood just walked in," said Draco Malfoy.

    [...]

    ' No, don't, honestly, it's not worth it...'

    ' Yeah, like you'd dare do magic out of school,' sneered Malfoy. 'Who blacked your eye Granger ? I want to send them flowers.'

    ' That's quite enough !' said Madam Malkin sharply, looking over her shoulder for support. [...]

    Narcissa Malfoy strolled out from behind the clothes rack.

    ' Put those away,' she said coldly to Harry and Ron. 'If you attack my son again, I shall ensure that is the last thing you ever do.'

    ' Really ?' said Harry [...] He was as tall as she was now. 'Going to get a few Death Eater pals to do us in, are you ?'

    [une rencontre qui tourne mal entre les Malfoy et la bande de Harry. Draco emploie un ton toujours aussi méprisant quand il croise Hermione. Cela est dû à ses origines : mi-humaine, mi-sorcière]


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  •    - Durant la saison 1, les lofteurs devaient chaque jour tenir un journal intime, dans lequel ils rapportaient leurs sentiments, leurs attentes... Tout cela était fait dans le but d'être publié. Problème : ça n'a jamais été le cas !

    Pourtant, on aurait enfin pu apprendre la vraie raison du départ de Delphine, partie pour "raisons médicales". Quatre ans après le mystère n'est toujours pas éclairci...


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  •   # Devine qui vient dîner ?   (TF1, 2000, 22H30)

    C'est une des premières émissions de TV-Réalité (janvier 2002), mais qui n'a jamais rencontré le succès escompté. Produite par Julien COURBET, son concept était simple. Dans un pseudo appartement, des people étaient conviés à un dîner, en compagnie d'autres, mais dont ils ne connaissaient pas le nom à l'avance.

    Des défis leur étaient donnés tout au long de la soirée (précisons que ça n'était pas en direct, sans doute pour éviter les débordements). Voici quelques exemples : "votre meilleur souvenir", "action ou vérité"...

    Au cours des deux numéros, des gens tels que Arthur, Doc Gynéco... se sont cotoyées. A l'instar d'un Loft Story, les caméras étaient dissimulées derrière des vitres sans teint. Et pour la promo des artistes, des bandeaux défilaient en bas de l'écran, genre Téléshopping.

    Dommage que l'émission n'ait pas rencontré son public, car elle nous donnait l'occasion de découvrir certaines personnalités sous un jour nouveau.

     


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  • Nouvelle série à gros budget de HBO, destinée à remplacer Les Sopranos, Rome est un sacré pari pour la cékèbre chaîne américaine. Pas moins de 100 millions de dollars ont étés mis sur la table, et cela se voit dès les premières scènes.


    Newsweek cette semaine nous en apprend plus. Rome est un subtil mélange de reconstitution historique, en 52 av JC et de soap-opéra.

    La série débute avec Jules César, se battant en Gaule et préparant son retour à Rome. Le seul rival de César, apprend-on, est Pompey, marié à sa seule fille. Mais très vite, la fille meurt en couches, laissant Pompey sans héritier.

    Comme le dit Newsweek, alors que Rome travaille dur pour rester aussi près que possible de la réalité, la série se permet un peu de fiction.

     

    Deux soldats sont ainsi mis en avant : Titus et Lucius.

    Titus Pullo                       Lucius Vorenus
    Vous pouvez voir leur trombine juste au-dessus.

    Grâce à Lucius, nous aurons droit à une plongée dans les bas-fonds de Rome. Les journalistes comparent d'ailleurs la cité à Calcutta durant l'heure de pointe.


    Sachez également qu'il n'y a aucune censure dans Rome ! Qu'il s'agisse d'actrices ou d'acteurs, on peut voir tous les détails de leur anatomie, et quand je dis tout, c'est vraiment tout.

    C'est davantage le cas pour Atia, la nièce de César. Par exemple, lorsqu'elle veut impressionner son oncle avec un cheval blanc, elle couche avec le marchand de chevaux. Elle couchera très souvent par la suite pour obtenir ce qu'elle veut. Cette femme est tout simplement trop occupée pour s'habiller. (« The woman is simply too busy to get dressed »). Atia est campée par Polly Walker, dont la beauté est comparée à une peinture de Raphaël.

    Atia of the Julii


    D'après les premiers échos, les acteurs sont excellents (les romains sont tous joués par des britanniques). Enfin, sachez que le tournage a eu lieu au même endroit que Gangs of New York et Cléopâtre, et on le dit meilleur que les deux réunis !


    Avec le succès rencontré par Lost et Desperate Houswives, HBO a besoin de se ressaisir. C'est tout le mal qu'on leur souhaite.

    Nous, pauvres français, devront patienter jusqu'en janvier 2006 pour déCouvrir la série sur CANAL +. Patience !


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  •    - Notre corps est notre jardin, et notre volonté en est le jardinier. [...] Voulez-vous le stériliser par la paresse ou l'engraisser par l'industrie ? Le pouvoir de tout modifier souverainement est dans notre volonté.

              [réplique de Iago, dans Othello de Shakespeare. acte I, scène III]

     

       - Economisez les pièces, les billets viendront d'eux-mêmes !

              [Winston Chrurchill, toujours aussi avare...]


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