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    Dans les coulisses de... "Un parfum d'engambi", avec Fabienne Carat

    C'est presque par hasard que j'ai eu connaissance du passage de Fabienne Carat dans ma ville. Pour tout vous dire, c'était la veille, dans un hebdomadaire local. Ni une, ni deux, je prend mon portable et j'appelle pour réserver une place. Miracle, il en reste une !

    Le jour J, je suis fébrile. Plus que quelques heures à patienter. La journée s'écoule longuement. J'écris même sur un carnet quelques questions dans l'espoir de pouvoir les lui poser.

     

    18H50

    J'arrive à l'auditorium de ma ville où doit avoir lieu le spectacle. Plus que dix minutes à patienter, normalement. La plupart des gens patiente dehors. Par esprit de mimetisme, je fais de même, avant de me rendre compte que je n'ai toujours pas de billet. Je me dirige donc vers la caisse, située près de la porte de la salle. 12 euros. Ca n'est pas cher payé. Et puisque je suis devant la salle, j'y reste.

    19H

    La porte s'ouvre. On nous demande d'entrer sans bousculade. Je suis l'un des premiers à pénétrer à l'intèrieur. Une maman, pas gênée pour deux sous, dit à sa fille de réserver tout le côté droit du premier rang. Et pourquoi pas toute la salle pendant qu'on y est ? Je m'installe donc au premier rang, à proximité de la fille, et je la regarde avec un air de défiance. Qu'elle essaie un peu de me faire dégager !

    Ensuite, les minutes s'écoulent sans que rien ne se passe. Il fait chaud. Certains ont déjà dégainé appareils photos et téléphones portable. J'ai moi-même amené le mien mais je n'osais pas le sortir. Mon voisin n'y voit pas d'oppostion. Je m'évante avec l'affiche du spectacle. A quelle heure est-ce-que ça va bien pouvoir commencer ?

    19H25

    L'animateur de la soirée, qui a eu un coup de coeur pour le spectacle Parfum d'engambi, arrive sur scène. Une femme dans la salle s'exclame : "Qu'il est beau !". Rires gênés. Avant d'accueillir les comédiens, Gianni Palazzo se propose de nous interpréter une chanson. Soit. J'écoute d'une oreille distraite.

     

    Enfin, après son interprétation, le chanteur nous présente la pièce qui nous attend. Elle a déjà été jouée à Marseille en mai dernier. Il quitte enfin la scène le rideau peut s'ouvrir complètement. On découvre le décor, assez simpliste. Un pan de mur représente ce qui est censé être l'intèrieur d'une cage d'ascenceur. Le premier à entrer en scène est Jeff Carias. J'avais lu que l'un des comédiens était le cousin de Patrick Bosso, et j'étais sûr qu'il s'agissait de lui. Pas du tout. Pourtant, il a le même crâne chauve, les mêmes mmiques et le même accent. D'emblée, on voit que l'ensemble ne va pas voler très haut. Jeff s'amuse à péter dans l'ascenceur et à nous en décrire la senteur. Peu râgoutant. Pourtant, dans la salle, c'est l'hilarité générale. Peu après les pets, Fabienne Carat entre dans l'ascenceur et manque défaillir sous l'odeur. Jeff pretexte que des gamins ont mis des boules puantes. Troisième acteur à entrer en scène, Bruno Gallisa est vêtu de façon assez burlesque. Un short ultra-moulant et un débardeur. Il incarne la "folle" caricaturale. Dernier personnage, Jean-Luc Bosso, le fameux cousin. Il est armé et menace les autres occupants, lorsque l'ascenceur tombe en panne, par un subtil jeu de lumières.

     

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    Je ne vous décrirai pas davantage la suite pour vous laisser la primeur de la découverte, mais je peux tout de même vous donner mon sentiment général. Pour tout vous dire, je n'ai pas été passionné. Certaines répliques font sourire, mais pas au point de se tenir les côtes, tel mon voisin. L'interprétation n'est pas à remettre en cause. Fabienne a eu à plusieurs reprises des fous rires, difficilement réprimés. Au début, je croyais que cela faisait partie de la pièce...

    Parmi les bons moments, on peut noter la chanson "Gigi l'amoroso" interprétée par tous les acteurs, une mini-parodie du fameux 118 218. On peut saluer le courage de ceux-ci pour tenir 1H15 sous la chaleur des projecteurs, avec pour seul boisson, l'eau d'un arrosoir (les spectateurs de la pièce comprendront !)

     

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    Concernant Fabienne, j'ai trouvé sa voix très différente de celle qu'elle a dans la série, peut-être est-ce sa voix "spécial théâtre".

     

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    Après le spectacle et une chanson ritale supplémentaire, nous avons attendu que Fabienne descende de sa loge. Comme l'attente était longue, et que des privilégiés étaient déjà montés, nous avons pris notre courage à deux mains et nous y sommes allés. J'étais accompagné de deux collégiennes et d'un petit d'école primaire.

     

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    Fabienne s'apprêtait à sortir de sa loge. La fille à côté de moi n'en pouvait plus. Elle se croyait prête à pleurer. L'émotion était forte. Enfin, quand elle est sortie, accompagnée de son petit copain (que je n'avais jamais vu), Fabienne a pris le temps de nous signer les photos dédicacées qu'elle avait prévue pour l'occasion. Elle nous a demandé si nous n'avions pas eu trop chaud, nous a confié ses fous rires... Voyant que j'avais mon appareil photo, elle en a déduit que nous souhaitions poser à côté d'elle. C'est donc son petit copain qui nous a pris en photo tous les quatre.

     

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    Elle est ensuite descendue, beaucoup de monde l'attendait. Une mère de famille, fan de la série, lui a demandé si l'ambiance chaleureuse visible à l'écran était la même que pendant le tournage, ce qu'elle a confirmé.

     

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    Quand je suis parti, elle était encore en train de signer des autographes, sur de simples feuilles de papier, car à court de photos officielles. En tout cas, j'ai passé une très bonne soirée, et je suis content de vous en avoir fait profiter. Si vous aussi vous avez déjà vu cette pièce et que vous voulez exprimer votre avis, n'hésitez pas, en laissant un commentaire.

     

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    Et voici maintenant, des vidéos dans les coulisses...

     

     

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    Et en bonus, la fameuse chanson interprétée par les comédiens...

     

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  • LE BILLET DE LA SEMAINE (25/06)

    N°7


    La phrase de la semaine

     

    " Jean-Pascal est quelqu'un de très raffiné. "

    (Sophie Favier, sûrement saoûle, dans Télé Star)

     



     L'evenement

    C'est la loi des séries. Après les difficultés traversées par Libération et L'Humanité la semaine dernière, c'est au tour de Paris Match d'être en eaux troubles. Mais l'affaire touche cette fois à la sphère politique. En août dernier, l'hebdomadaire qui fêtera ses 60 ans en 2009 avait publié une photo de Cécilia Sarkozy en compagnie de Richard Attias, son nouveau compagnon de la crise post-Sarkozy. A cette occasion, Paris Match avait réalisé l'une des ses meilleures ventes de l'année. Mais voilà que le directeur de la rédaction, Alain Genestar, a été gentiment poussé vers la porte. Or, il se trouve qu'Arnaud Lagardère, patron de la maison d'éditions qui publie Paris Match, est un ami du ministre de l'Intèrieur. La rédaction se dit prête à faire grève, une première dans son histoire, pour le soutenir.

    Dans le domaine audiovisuel, "the place to be" cette semaine, était sur Europe 1. Jean-Marc Morandini a reçu les patrons de chaîne et les directeurs de programme, notamment Rodolphe Belmer, de Canal + et Etienne Mougeotte. La chaîne cryptée a levé le voile sur une partie des programmes de la rentrée, qui s'annoncent alléchants. La case du midi promet d'être radicalement différente, avec l'arrivée de Pascale Clark, en direct. Le format se rapprochera d'En aparté, pour le style interview-invisible, mais sera agrémenté de multiples reportages, et du JT. Celui-ci ressemblera à ce qu'il est maintenant, mais connaîtra un changement de formule dès janvier, présenté par Stephanie Renouvin. La pétillante animatrice de La matinale prendra avant cela un repos mérité pour cause de congé maternité. Sa remplaçante n'est toujours pas connue. Après ses déboires avec France 2, Ardisson annonce son arrivée sur l'antenne de Canal + pour le 5 novembre, tous les dimanche, en lieu et place de Karl Zéro. Il présentera une revue de presse déjantée, proche du Daily Show. Il poursuit donc son émission sur Paris Première, qui sera désormais programmée le samedi soir, face à la nouvelle émission de Laurent Ruquier.

    Sur TF1, le crédo pourrait être "rien de nouveau" pour les semaines à venir. Annonçons le d'emblée, Julien Arnaud est désormais le remplaçant officiel de la remplaçante de Claire Chazal. Tout droit arrivé de LCI, il ne sera visible que le temps d'un été sur la une. Dechavanne animera bien La roue de la fortune nouvelle version. Arthur sera omniprésent et Castaldi testera divers formats en prime time. Quant à Thomas Hugues, il a pris la décision qui s'imposait depuis longtemps, c'est-à-dire demissionner. On le comprend, tant sa nouvelle fonction ressemblait à une mise au placard. Il n'avait même pas été consulté pour l'arrivée d'Anne-Sophie Lapix, c'est dire ! L'affaire pourrait atterrir devant les tribunaux. Pitoyable. Pour autant, le sympathique présentateur n'a pas encore trouvé de chaîne remplaçante. La plus vraisemblable serait M6 qui trouverait ainsi enfin quelqu'un pour la présentation du nouveau magazine 66 minutes.

    Enfin, saluons la prise de conscience du CSA, que j'avais tant critiqué la semaine dernière, et qui est revenu sur sa décision. Il ne comptabilisera donc pas le temps de parole de François Bayrou et de dix autres membres de l'UDF comme faisant partie de l'opposition.


       

    Le tour du PAF en 6 audiences

     * La programmation de France 3 à la dernière minute d'un hommage à Raymond Devos (Lundi, 20H50) s'est averée gagnante. Relegué en seconde partie de soirée, le dernier volet de La brigade des jardiniers a fait un flop. L'heure tardive de programmation n'explique pas tout : 560 600 somnanbules pour une part de marché de 7,9%.

     

    * En ces temps de football à outrance, les télespectateurs un peu lassés se sont rabattus en masse sur Desperate Housewives (Mardi, 20H50). M6 a battu une nouvelle fois un record depuis la diffusion de la série : 5,5 millions de téléspectateurs pour le premier épisode (21,6% ) et 5,9 millions de fans pour une pda de 24% lors du second épisode. TF1 a quand même été leader.

    * Pour sa première prestation, Anthony Kavanagh (Mercredi, 20H50, France 2) est arrivé deuxième des audiences : 2 410 580 télespectateurs (19% de PDM) derrière le football de TF1 donc, mais devant la saga de l'été de M6 dont c'était le troisième épisode : 3 868 140 adeptes pour 17,6 % de PDM.

     

    * Jeudi, Perdu de vue, euh pardon, Passé retrouvé était de retour, cett fois sur M6. La recette fonctionne toujours, neuf ans après : 3 363 600 voyeurs et une PDM de 14,4%. Le même soir, Incroyable mais vrai débutait sa série d'émissions de l'été. Pas de deception avec 2 915 120 fans de Jean-Pascal pour 38,5% de part de marché, sur TF1.

    * Le troisième match de l'équipe de France (Vendredi, 20H50) a été suivi en moyenne par 18.331.620 téléspectateurs. La part d'audience atteint 70%. C'est le cinquième meilleur score d'audience enregistré par Médiamétrie depuis la création du Médiamat en 1989. A noter qu'un pic d'audience à 21.5 millions de téléspectateurs a été enregistré à 22h49. La part d'audience était alors de 85.3%.

    * Pour le retour de Fort Boyard, l'émission a été suivie par 3.419.660 téléspectateurs pour 19.6% de part d'audience. L'année dernière, le programme avait rassemblé en moyenne 3.9 millions de téléspectateurs pour 22.5% de part d'audience.


    Lu dans la presse :

     

    " Fin de la répétition, on nous sert à manger dans les loges. On dîne tôt à la télé, comme dans les hôpitaux. Marco frappe à ma loge. Il porte des Kleenex entre sa chemise et son cou - on dirait une fraise Henri IV- pour éviter les taches de maquillage." (Guy Carlier dans le journal, Télé 2 semaines)

     

     

    Bataille et Fontaine

    ont accepté de repondre aux questions de Télé-Loisirs. Morceaux choisis.

    - au sujet de leurs femmes : " Elles sont amies, contrairement à nos précédentes femmes. C'est pourquoi on en a changées !"

    - sur

    leur possible animation en duo : " Ce serait techniquement possible, mais ce n'est pas notre envie."

    - une

    honte ? " Nous avons étés gênés en voyant une pauvre maman de 72 ans, vivant au fin fond de la campagne, avoir du mal à encaisser les aveux de son fils."

    - sur

    leur nouvelle émission : " plus axée sur le travail d'investigation, jusqu'en Argentine ou au Maroc avec les suspenses haletants que comportent les échecs, les impasses, mais aussi l'aboutissement."

    - enfin,

    on termine en fanfare : " La télévision d'aujourd'hui par défénition est voyeuriste." (et de citer l'exemple de Delarue dans Ca se discute sur le plaisir féminin.) " On se marre aussi en regardant les Guignols, même si on apprécie pas qu'ils nous présentent comme bêtes et méchants : bêtes on veut bien, mais vraiment pas méchants !"

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  • Premières indisrétions...

    La sixième saison a attiré 20 000 personnes, pour seulement 16 retenus.

    Le premier épisode sera diffusé le le 21 juillet, toujours le vendredi soir en prime time. Denis l'ouvrira au sommet d'un volcan. Il a dû à cette occasion surmonter sa peur du vide, accompagné d'un technicien caché à côté de lui durant l'enregistrement.

     

    L'action se déroulera sur l'île de Vanuatu (archipel situé dans le Pacifique du Sud). C'est encore Denis Brogniart qui en parle le mieux, dans Télé-Loisirs : "Les habitants sont d'une grande gentillesse, les sites merveilleux, la végétation luxuriante, l'eau transparente. On y a vécu des moments extrèmement intenses car les conditions climatiques étaient humides, on a eu un cyclone." Denis est venu sur l'île accompagné pour la première fois de sa femme (qui est journaliste dans l'emission) et de ses jumeaux de 14 mois, sans oublier leur nounou !

    Accidents et infections feront aussi partie du lot quotidien. L'un des candidats a dû même être évacué par hélicoptère. Côté casting, pour être un peu plus précis, sachez que l'on retrouvera :

    - une mère de famille nombreuse, combative

    - une Marseille pur souche

    - une chef d'entreprise meneuse d'hommes

    On nous promet un casting qui ne ressemble pas aux éditions précédentes (c'est le moins que l'on puisse demander !). Les équipes seront comme d'habitude rouge (les Moso) et jaune (les Tanna), avant la réunification.

     

    Dernière bonne nouvelle, sachez que vous pourrez suivre tous les épisodes sur TV MANIA cet été. Et, d'ores et déjà, les archives de la saison 5 sont accessibles ci-dessous.

     

    Mise à jour : Voici les photos des équipes, parues dans Télé 7 jours de la semaine du 10 juillet !


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  • Lucky Louie * * * * * * * * * *

     

    Première diffusion : 11 juin 2006 sur HBO

    Durée : 20 "

    Nouvelle sitcom, Lucky Louie a toutes les apparences d'une comédie familiale. Sauf qu'il n'en est rien. Louie est marié à une infirmière, et a une adorable petite fille, Lucy, de quatre ans. Le premier épisode est assez incohérent puisqu'il met en avant le désir d'un second enfant de la part de la femme de Louie, qui est infirmière. Avec les horaires que les femmes exerçant cette profession ont, elle sont peu nombreuses à manifester le désir d'agrandir leur famille, en général.

    Dans cette série, tout tourne en dessous de la ceinture et les différentes histoires developpées ne font que le confirmer. La femme veut un autre enfant mais Louie refuse pour des raisons financières, Louie se masturbe dans un placard, ses collègues de travail parlent de relations sexuelles et de la fréquence des rapports... Les dialogues sont sans détours. Morceau choisi à la fin de l'épisode, lorsque Louie se laisse convaincre par sa femme :

    - On dirait que tu as une grosse erection... (la femme)

    - Je vais me branler avec tes seins. (Louie)

    Je crois que l'ompniprésence du sexe tente de cacher les multiples défauts de cette comédie dont le premier est de ne pas faire rire. A ce titre, le simulare d'orgasme d'une amie de la famille avec un poulet congelé dans un supermarché, est significative.

    Ajoutez à cela des décors minimalistes et une histoire qui l'est tout autant, et vous comprendrez que Lucky Louie est raté. Seule consolation, pour les fans de Friends, vous pourrez y voir le comédien qui interprétait le plombier dans la sitcom et embêtait Monica. Mais, pas de miracle, il n'a lui aussi que le mot "sexe" à la bouche.

    Bref, HBO nous avait habitué à mieux.


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  • Rebecca Hampton, l'interview !

    (morceaux choisis et commentés)

    "J'adore quand nos personnages ont des séquences ensemble parce que j'aime travailler et jouer avec

    Serge Dupire. On en a tourné pas mal ces derniers temps. Il va bientôt nous arriver des choses qui vont nous rapprocher, mais pas amoureusement.

    Après je ne sais pas ce qui va se passer car je n'ai que 6 semaines d'avance sur les téléspectateurs...
    Quand j'ai débarqué, je n'étais pas sûre de moi. Comme

    Serge a 15 ans de plus, il a davantage d'expérience et c'est un comédien confirmé. Il m'a un peu pris sous son aile et m'a fait bosser, sur le plateau, mais aussi le soir quand on se retrouvait avec d'autres comédiens. On s'est rencontré avant tout par le boulot, et on s'est aperçu qu'on avait les mêmes sensibilités et les mêmes envies. C'est très banal, comme toute histoire d'amour, même si elle est belle."

    "Dans les comédiens, j'ai une énorme tendresse pour

    Juliette Chêne qui joue ma petite soeur. C'est une jeune femme extraordinaire et une superbe comédienne. Je suis aussi très admiratif de quelqu'un comme Thibaud Vaneck qui vient de débarquer. Je trouve qu'il fait un travail vraiment très bien. Dans les guest, on a en ce moment Guillaume Romain, qui joue Renaud, avec qui j'ai tourné il y a quelques années dans un téléfilm de Joël Santoni ("Le prix de la vérité" en 2001, ndlr). Et sans oublier deux personnes primordiales, Richard Guedj le directeur d'acteurs et Marie-Anne son assistante, qui sont là pour l'humeur, la continuité. Grâce à eux, on est toujours de bonne humeur !"
    (N.B A noter qu'elle parle de Nathan comme si il était là depuis deux jours ! Un problème de calendrier ?)

    Parfois, ça me coûte de jouer Céline Frémont, car elle peut être fatigante. Jouer un autre rôle, aller dans un autre univers, travailler avec d'autres gens, c'est très plaisant et ça nous fait du bien à tous. Je n'ai pas beaucoup de temps mais je préfère bosser sur un autre projet sur mes temps de vacances plutôt que de me reposer, même si je vais prendre des vacances en septembre. (NB L'intrigue avec les Mercoeur ou l'héritage devrait donc durer tout l'été...)
    Il va m'arriver beaucoup de choses, et je ne suis pas responsable de ce que je fais ! C'est écrit, je ne fais que le jouer..." (NB message subliminal adressé à tous ses fans, rassurez-vous, elle n'est pas lesbienne !)

    Le principe de départ était une sorte de gazette. Tous les jours, on allait dans une représentation du Panier, un quartier magnifique, un des plus anciens de Marseille. C'était le quotidien des habitants du Mistral, plutôt tranquille. On s'est rendu compte que ce n'était pas très attrayant, ni pour nous, ni pour le public.

     

    Je "mange" du

    Plus belle la vie toute la journée. J'avais 9h de danse par semaine depuis des années, et je ne fais plus rien. Mais ça m'ouvre des portes sur des choses super intéressantes. Je viens d'être la marraine d'une émission de Gérald Dahan pour le primetime, et je suis invitée d'honneur et membre du jury au festival du Cap d'Agde. C'est sûr qu'avant Plus belle la vie, on ne me l'aurait pas demandé !

    (NB La nouvelle émission de Gerald Dahan, sur France 3, sera basée sur des canulars téléphoniques)

     

    A noter enfin que Rebecca Hampton est une fan inconditionnelle de Desperate housewives et de Nip/Tuck. Par contre, elle n'a jamais vu un seul épisode de Lost !

     

    [extrait de l'interview accordée à Allociné, mi-juin 2006]


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